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Paris La Défense : Vente de la tour EDF à un fonds singapourien @Defense_92
Source : La Défense 92

Les fonds d’investissements asiatiques continuent de miser sur La Défense. Après avoir acquis la tour Ariane l’an passé, le fonds souverain singapourien GIC a confirmé l’achat début octobre de la tour EDF, sans toutefois donner de détails sur son prix. Selon le site Buisiness Immo la transaction avoisinerait les 550 millions d’euros, soit environ 9 000 euros le mètre carré pour cette tour qui développe 60 000 mètres carrés. Pour gérer ce building GIC s’est entouré de BauMont Real Estate Capital, qui est également le partenaire de GIC pour la gestion de la tour Ariane…Lire la suite
Mobilité intelligente : EDF et la Banque des Territoires investissent dans la startup MyBus @caissedesdepots @BanqueDesTerr
Source : Banque des territoires
La startup MyBus lève 2,4 millions d’euros grâce aux groupes EDF, via son fonds d’investissement corporate EDF Pulse Croissance, et la Banque des Territoires. MyBus permet aux usagers des transports en commun d’acheter et de valider leurs titres de transports dématérialisés depuis leur smartphone.
MyBus couvre 200 réseaux de transport en France
Lancée en 2016 par Frédéric Pacotte et Franck Raynaud, la start-up a pour ambition de faciliter l’accès aux transports en commun ainsi qu’aux autres solutions de mobilité durable. Avec son application mobile unique de dématérialisation des titres de transport en commun, elle est primée en 2018 au CES de Las Vegas dans la catégorie « Smart Cities ». MyBus poursuit aujourd’hui son développement dans toute la France. La solution s’intègre parfaitement dans les réseaux urbains de moins de 450 000 habitants, soit 95 % des réseaux du territoire français. MyBus a vocation à être utilisée aussi bien sur les réseaux de transport en commun urbains, interurbains que scolaires à l’instar d’une expérimentation en cours sur le réseau scolaire de l’Allier, en lien avec la région Auvergne Rhône-Alpes. MyBus est par ailleurs citée comme solution dans le Plan d’Accès National du Ministère des Transports.
Avec une dynamique ancrée dans la volonté d’offrir aux citoyens un service à forte valeur ajoutée en matière de transport en commun, cette startup auvergnate met en lumière le bassin économique Auvergne-Rhône-Alpes dont elle est issue. Une démonstration supplémentaire, si besoin est, de la richesse et de la valeur des entreprises régionales susceptibles de rendre les territoires plus durables, plus attractifs et plus inclusifs.
Lire aussi :
Le projet de territoire intelligent d’Angers @Angers
Source : smart city
EDF, Vinci, Engie et Bouygues. Depuis mi-mars, on connaît les quatre candidats en lice pour le projet de territoire intelligent lancé par Angers Loire Métropole et la Ville d’Angers. Des poids lourds de l’immobilier et de l’énergie donc, pour un marché public global de 120 millions d’euros sur 12 ans. Jean-Marc Verchère, adjoint à la politique de proximité, revendique une spécificité angevine dans cette démarche, tout en puisant de l’inspiration du côté Dijon notamment.
Dans le combat d’Angers pour le titre officieux de « territoire le plus intelligent de France », à quoi sert ce marché public global ?
Ce titre, ça n’est pas l’objectif. Simplement, notre ville a été à la pointe dans le domaine de l’électronique pendant les années 1960-70 avec Bull, Thomson, Motorola, etc. La délocalisation et la miniaturisation de l’électronique ont fait disparaître cette activité dans les années 1980-90. Mais ce savoir-faire s’est en partie retrouvé dans un tissu de PME du numérique, d’où la création de la Cité de l’objet connecté (en 2013) et l’obtention du label FrenchTech (en 2015). Nous travaillons au renouveau d’une ville longtemps endormie par sa « douceur angevine ». Sur la smart city,notre constat est qu’il ne sert à rien d’être une ville d’objets connectés si notre gestion des services et de l’espace public n’est pas transversale. On s’est beaucoup inspiré de ce qu’a fait la Ville de Dijon, mais sans tout reprendre à notre actif. On a aussi pioché des idées chez des villes en pointe dans un sous-domaine : Nantes, Lyon ou Rennes.
EDF veut favoriser les économies d’énergie dans les établissements scolaires @EDFofficiel @Min_Ecologie
Source : EDF
Aux côtés de l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment, EDF concrétise son engagement en faveur de la transition énergétique en soutenant le challenge CUBE.S. Focus sur la première édition du concours pour la performance énergétique des établissements scolaires.
Vers la performance énergétique des établissements scolaires
Le poste de dépense énergie des bâtiments tertiaires et infrastructures publiques occupe une place grandissante dans le budget de fonctionnement des collectivités locales, il est de l’ordre de 20% pour le secteur scolaire (Sources ANDES 2015). Inspiré du succès du concours CUBE 2020 destiné aux bâtiments tertiaires, le challenge CUBE.S (Climat Usage des Bâtiments d’Enseignement Scolaire) part du diagnostic qu’il existe un véritable potentiel d’économies d’énergie et de gain sur les factures pour les établissements scolaires, sans nécessité d’effectuer des travaux lourds de rénovation.
Lancé le 1er septembre 2018 par l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB) et le CEREMA, le challenge CUBE.S est un concours à destination des établissements scolaires. Parrainé par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire et le Ministère de l’Education Nationale, il vise à récompenser les économies d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre réalisées tout au long de l’année par les établissements, grâce à des actions simples et à faible coût.
Lauréat d’un appel à proposition pour les Certificats d’Economie d’Energie (CEE) lancé par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, le challenge CUBE.S est aussi un programme de CEE qui permet aux collectivités et aux établissements scolaires de bénéficier de formations, d’animation et de matériels pédagogiques pour renforcer leur action. EDF est le principal financeur de ce programme.