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La Nantaise d’Habitations et sa filiale Coop Logis restent mobilisées pour la poursuite de leurs chantiers @LA NANTAISE D’HABITATIONS @Coop Logis


Sources : La Nantaise d’Habitations et Coop Logis
Lors du premier confinement, La Nantaise d’Habitations et sa filiale Coop Logis se sont fortement impliquées pour la reprise de leurs chantiers et ont consenti un effort financier de près de 1 million d’euros en soutien à la filière BTP pour la protection sanitaire.
Les conditions de reprise et les mesures sanitaires suite au premier confinement ont été nombreuses et leur mise en place a représenté des coûts importants.
Le #confinement, révélateur des inégalités dans la qualité du logement @IpsosFrance @groupeQUALITEL #Covid_19
Source : Qualitel

L’Association QUALITEL publie avec l’Institut Ipsos les résultats de l’une des enquêtes les plus complètes menées à ce jour sur le logement et le confinement, avec un échantillon représentatif de 2 600 Français qui ont répondu à 63 questions et noté leur logement sur la base de 17 critères (confort thermique, isolation acoustique, qualité des matériaux, ventilation, luminosité etc.) qui composent le Qualiscore, indice de la qualité perçue du logement.
- 20 % des Français ont « mal supporté » leur logement pendant le confinement.
- Leur portrait-type : jeunes, vivant dans une grande ville, locataires, en appartement et à faibles revenus
- 41 % des Français disent avoir connu des tensions dans leur foyer : les – de 35 ans et les occupants d’appartements sont plus touchés que les autres.
- Un clivage territorial net : la France des campagnes note mieux la qualité de son logement pendant la période, devant les villes moyennes puis les métropoles (l’Île-de-France arrive en dernier).
- 38 % des habitants d’appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit 3 fois plus que les habitants de maison.
- 94 % des Français se sont confinés chez eux, 92 % dans l’agglomération parisienne. 1ère motivation de ceux qui se sont confinés ailleurs : retrouver leur famille (avant la recherche d’espace).
- 34 % des Français déclarent qu’ils « auraient pu vivre en confinement très longtemps sans problème ». Ce sont eux qui donnent la meilleure note de qualité à leur logement.
Pendant et après le confinement, les challenges de la logistique urbaine @JLLFrance
Source : JLL France

La nécessité de repenser les livraisons en ville était déjà identifiée, sous l’angle critique de la pollution, de l’encombrement, de la sécurité… Mais la crise du Covid-19 a mis en lumière le rôle indispensable et stratégique de cette filière qui a permis d’assurer à chacun un approvisionnement en produits – parfois de première nécessité – malgré les mesures de confinement.
La pandémie de covid-19 bouscule nos habitudes, transforme nos sociétés et challenge nos organisations. Les contraintes inédites induites par les mesures de confinement agissent également comme catalyseurs de tendances déjà engagées.
La nécessité de repenser les livraisons en ville était déjà identifiée, sous l’angle critique de la pollution, de l’encombrement, de la sécurité… Mais la crise du Covid-19 a mis en lumière le rôle indispensable et stratégique de cette filière qui a permis d’assurer à chacun un approvisionnement en produits – parfois de premières nécessités – malgré les mesures de confinement. La logistique urbaine doit donc désormais relever le double défi de l’accélération de son développement et de son insertion harmonieuse dans la ville de demain…
Quelle reprise, quelle relance dans les territoires à la sortie du confinement ? @l_AdCF
Source : AdCF

Les incidences du Covid-19 (coronavirus SARSCoV-2) sur l’économie réelle sont encore aujourd’hui très difficiles à déterminer avec précision tant elles seront liées à la durée de la crise sanitaire, à l’efficacité des dispositifs de soutien mis en place dans un cadre national, mais aussi aux actions coordonnées de relance au niveau mondial (FMI, G20…) et européen.
Les incidences de moyen terme sur les marchés et les systèmes bancaires… font l’objet de multiples études et prévisions mais qui n’ont qu’une valeur très relative tant que la crise sanitaire durera. Ces questions doivent être en partie dissociées des travaux consacrés aux impacts sur l’économie réelle qui commencent à être estimés, à partir d’une analyse du double choc d’offre et de demande.
On peut déjà noter deux premières études d’impact réalisées par l’INSEE et l’OFCE sur la France. L’INSEE évalue l’impact d’un mois de confinement à environ une perte de 3 points de PIB. L’OFCE parvient à un chiffre légèrement plus faible (- 2,6 %) mais du même ordre de grandeur…