Artificialisation des sols en Île-de-France et habitat collectif neuf : halte aux idées reçues @fpifrance
Source : FPI France

La crise sanitaire a, par le confinement qui en a découlé, démontré qu’il était aujourd’hui, plus que jamais, indispensable de repenser la Ville et son parc immobilier. La crise n’a pas diminué le besoin en logements mais a fait émerger de nouveaux besoins : pièces supplémentaires permettant le télétravail, espaces extérieurs, revitalisation des centres ville, connectivité…
A l’heure de la relance, il s’avère impératif de conjuguer les nouveaux besoins accentués par cette crise inédite et croissance verte.
Pour accélérer l’émergence d’une ville durable et résiliente, il faut la (re)construire car, bien qu’indispensable, rénover le tissu existant ne pourra suffire.
L’Île-de-France, figure d’excellence pour la faible artificialisation des sols
Depuis le Plan biodiversité de 2018, le Gouvernement français s’est fixé l’objectif « Zéro artificialisation nette », également appelé « ZAN ». Il s’inscrit dans un objectif de neutralisation des impacts des villes sur la biodiversité et le changement climatique.
Région dense par excellence, l’Île-de-France fait pourtant figure d’exception vertueuse en matière d’artificialisation des sols, comme en témoigne l’étude menée par l’Institut Paris Région* et publiée en janvier 2020…
Publié le 30 juillet 2020, dans Actualités, Immobilier, et tagué artificialisation, fédération promoteurs immobiliers. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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